Je vous ferai pécheurs d’hommes (Mc 1, 14-20)
En cette veille de la clôture de la prière pour l’unité des chrétiens, les lectures de ce jours nous font remarquer un mouvement de précipitation inattendu…
En cette veille de la clôture de la prière pour l’unité des chrétiens, les lectures de ce jours nous font remarquer un mouvement de précipitation inattendu…
“Que cherchez-vous ?” C’est la première question que Jésus pose dans l’évangile de Jean. Nous aurons à répondre à cette question jusqu’à notre mort. Oui nous, nous pouvons dire en vérité, que nous cherchons Dieu.
Le Seigneur nous propose infiniment plus que ce que nous pouvons demander et même concevoir : Dieu nous donne sa Parole faite chair. « Je ferai avec vous une alliance éternelle, car vos pensées ne sont pas mes pensées et ma parole ne me revient pas sans effet ».
La fête que nous célébrons aujourd’hui est peut-être moins bien comprise du plus grand nombre – surtout si on la réduit à ses aspects folkloriques. Mais elle est d’une grande importance car elle amplifie le mystère célébré à Noël : c’est la manifestation de Dieu au monde entier. Ces deux fêtes sont donc complémentaires.
En ce dimanche 27 décembre, soit 2 jours après la fête de Noël, la liturgie de ce jour nous baigne dans une attitude de “foi” et nous montre une certaine nuance de tendresse et d’intimité de la Sainte Famille. L’épisode évangélique de la présentation de l’enfant Jésus au Temple ne manque pas de gravité.
Les prophètes sont là pour ranimer l’espérance d’un peuple abattu. Une lumière dans haut vient déchirer les ténèbres. Aucune situation fermée ne reste sans la perspective d’un monde meilleur. Dieu a promis d’être avec son peuple, il ne l’abandonnera pas.
En ce 3ème dimanche de l’Avent, nous sommes invités à nous réjouir puisque nous allons célébrer bientôt le jour de notre libération, la venue du fils de Dieu parmi nous, le mystère de l’incarnation qui nous a sauvés et qui apporte le salut au monde.
En ce 3ème dimanche de l’Avent, nous sommes invités à nous réjouir puisque nous allons célébrer bientôt le jour de notre libération, la venue du fils de Dieu parmi nous, le mystère de l’incarnation qui nous a sauvés et qui apporte le salut au monde.
« A travers le désert, une voix crie : « Préparez le chemin du Seigneur, que tout ravin soit comblé, que toute montagne, toute colline soit abaissée»! Si Dieu veut se faire entendre, s’Il veut toucher le cœur des hommes, pourquoi donc crier « à travers le désert » ? Pourquoi crier là où nulle oreille ne peut l’entendre ? Pourquoi crier dans le silence du désert ?
« Veillez », nous dit Jésus, pour être prêts quand viendra le Fils de l’homme ! Ne nous méprenons pas sur cette veille. On la comprendrait de travers, en la considérant comme l’attente, pour demain, du retour du Christ et en se contentant, aujourd’hui, d’éviter les écarts, d’appliquer les lois, de faire juste ce qu’il faut pour être en règle face au jugement de Dieu.
En cette fin d’année liturgique nous est révélée la gloire, la source du rayonnement de l’être de Jésus, sa royauté sur tout l’univers. Le Seigneur Dieu, dit Ezéchiel, est le vrai Pasteur de son peuple.
La parabole des talents. D’abord, le maître part très loin, à l’étranger, ça cela montre qu’il fait toute confiance à ses serviteurs, il ne les surveille pas, les laisse faire complètement libres. On surveille au nom de la Loi, mais Dieu veille au nom de son Amour…