C’est à travers des états de vie différents que la sainteté de Françoise s’est épanouie, des états de vie et des situations opposées à son désir premier de se consacrer à Dieu. Malgré son jeune âge – 12 ans – elle obéit à son père et épouse Lorenzo de Ponziani. Mère de 3 enfants et maîtresse d’un grand domaine, elle accomplit son devoir d’état tout en menant une vie de prière et de charité.
A travers l’événement merveilleux de la Transfiguration, les trois disciples sont appelés à reconnaître en Jésus le Fils de Dieu resplendissant de gloire. Ils progressent ainsi dans la connaissance de leur Maître, en se rendant compte que l’aspect humain n’exprime pas toute sa réalité; la dimension ultraterrestre et divine de Jésus est révélée à leurs yeux.
Nous venons d’entrer dans le temps du Carême, le temps de la préparation aux fêtes pascales. C’est un temps de conversion, un temps favorable pour faire halte afin de reprendre la bonne direction. La voix du salut que Dieu veut nous donner. Ce salut nous est donné par la mort et la résurrection de Jésus. C’est donc vers lui que nous devons nous tourner.
« Le voici maintenant le temps favorable, le voici maintenant le jour du salut. » C’est avec ces paroles de l’apôtre Paul que nous sommes invités à entrer en ce temps de Carême. Si nous regardons cette période qui s’ouvre devant nous, avec les yeux du monde, nous la verrons comme un temps de tristesse et d’austérité. En effet, nous sommes appelés à tourner le dos à nos convoitises, à ne pas rechercher les satisfactions immédiates qui nous sollicitent et nous harcèlent…
La Parole de Dieu nous met aujourd’hui sur le chemin du véritable Amour. Dieu se fait pédagogue pour celui qui l’écoute.
La Loi de Moïse nous dit : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » pour imiter ton Seigneur « Dieu Saint et parfait ». C’est un précepte essentiel de la Loi.
Les rabbins n’ont cessé de reprendre l’interrogation, adressée ailleurs à Jésus dans l’évangile : qui est ‘prochain’ et qu’est-ce que l’aimer selon Dieu ?
Frères et sœurs, une phrase du Siracide retient mon attention. La voici : « …il dépend de ton choix de rester fidèle. » (v.15). Celle-ci aussi que nous trouvons dans l’Evangile de Matthieu : « Que votre parole soit ‘’oui’’, si c’est ‘’oui’’, ‘’non’’, si c’est ‘’non’’. Ce qui est en plus vient du Mauvais. » (5,37). Le Seigneur nous invite donc à une saine radicalité…
C’est en la veille de la fête de la Présentation de Jésus au Temple que notre sœur Irène-Marie son âme entre les mains du Père. C’est à la veille de cette fête qu’elle a offert sa vie à Celui à la suite duquel elle s’était engagée par la profession le 11 juillet 1979, en la solennité de Saint-Benoît.
La vie de sainte Scholastique nous est connue grâce à saint Grégoire le Grand, mais presque incidemment. Elle a vécu dans sa communauté de moniales, non loin du monastère dans Saint-Benoît était l’abbé. Saint Grégoire raconte dans les Dialogues leur ultime rencontre annuelle, peu de temps avant sa mort.
La fête de la Présentation du Seigneur conclut les solennités de l’Incarnation. Quarante jours après la naissance de Jésus, Marie et Joseph portent l’Enfant au Temple pour le présenter au Seigneur. La loi de Moïse prévoit que la mère d’un garçon premier-né accomplisse un rite de purification 40 jours après sa naissance.
« Venez à ma suite » : c’est toute la bonne nouvelle de Jésus qui est lumière et vie pour nous aujourd’hui.
Jean-Baptiste accueille et prépare au règne de Dieu par une nécessaire justice et justesse devant Dieu, dans un retournement moral. Jésus prend le relais et marche vers les hommes « qui habitent les ténèbres au carrefour des païens », les rencontre et les appelle à le suivre pour rencontrer Dieu.
Le texte de l’évangile de ce jour nous relate la deuxième rencontre de Jean le Baptiste avec Jésus. Une rencontre qui est pour nous un enseignement, un témoignage, une catéchèse. Jean montre au peuple, son cousin, Jésus en le désignant comme étant le Messie attendu, le Fils de Dieu…
Frères et sœurs, nous fêtons aujourd’hui l’Épiphanie de Notre Seigneur Jésus Christ.
Épiphanie signifie : manifestation. Nous célébrons donc le jour où Notre Seigneur Jésus Christ est apparu sur le monde, s’est manifesté au monde, où Dieu s’est révélé en Jésus Christ vivant dans le monde pour nous sauver. Depuis sa conception qui s’est déroulé dans le plus grand secret, entre Marie, l’archange Gabriel et la Trinité, et depuis sa naissance …